Les spectacles de l'édition 2016
La féérie débarque.
Passant par une porte reliant le monde des humains et celui de Faërie, une troupe de créatures fantastiques vient visiter notre monde.
Attendez-vous donc à rencontrer de nombreux êtres hauts en couleurs qui ne manqueront pas de vous étonner ou de vous rendre fou... ou pas.
La compagnie Cornélius présente...
son tout nouveau spectacle INVENTORIUS (la fabuleuse histoire amusante et festive des grandes inventions!)
Dans un décor unique, original et fantastique se côtoient des artistes polyvalents en musique, équilibre, jonglage, comédie, exploits,... Le tout avec beaucoup d'humour et de bonne humeur communicative pour la plus grande joie du public.
Premier prix - Grand coup de coeur et trophée Fou d'Histoire - Catégorie musique, chant et danse lors du Festival du Spectacle Historique de Pontoise 2015.
Une fougue , un humour et une ardeur toute personnelle, jamais vue jusqu'alors sur les fêtes médiévales. Rythmes puissants et exaltés, mélodies festives et délurées, c'est avec enthousiasme et générosité que ce groupe Toulousain qui "déménage", embrase les foules et partage sa musique débordante de vitalité... un répertoire musical inédit sur la scène médiévale!
La Compagnie Bacchanale
Quatre saltimbanques qui déambulent en vous proposant leur musique, leur jonglerie, leurs boniments et tout leur savoir faire. Fidèles à notre manifestation, ils ne nous ont jamais déçus!
En latin, "Sursum Corda" veut dire "Haut les cœurs"; et ce groupe, du cœur, il en a à revendre!
Ce groupe de percussionnistes jouant debout munis de baguettes et de mailloches existe depuis 1998. Partenaire privilégiés de notre week-end depuis 2004! Ils mettent l'ambiance!!!
OYEZ, OYEZ, OYEZ
Gentes dames, Nobles Seigneurs...
Ainsi commence l'Harangeur,
Et s'il en est un Festoyeur,
Ne le cherchez point Ailleurs.
POPOLINO vous aimerez.
Il déambule en Public
En impro ou en musique
De temps à autre, il pose.
Sa comédie comique,
Où Magie et Jonglerie,
Se mèlent à sa Prose.
Vos esgourdes esbaudira
Au son de sa gaita
Vos mirettes ravira
De son costume d'Apparat.
Alors n'hésitez pas.
L'Alchimiste Guillaume de Berthelot.
Dans son laboratoire, Guillaume de Berthelot manie poudres et liquides qui rivalisent avec la foudre pour faire sortir l'or caché des matières impures.
Petits et grands sont plongés dans l'univers de la symbolique alchimiste, avec le feu comme élément central. Secrets évoqués sans être dévoilés, d'étranges effets feront jaillir le Lion vert, l'or Soleil ou des flammes aux couleurs mystérieuses.
Groupes d'hommes d'armes s'articulant autour d'un frère dominicain, inquisiteur de son état, afin de le protéger dans sa quête d'extirper l'hérésie dans les contrées les plus reculées d'Europe.
Tentes didactiques, archerie, artillerie, jeu de l'épée Excalibur pour les enfants, chevaliers combattants résument en quelques mots ce que le St Graal nous proposera.
Et leurs chants et leurs prières... qui ne pourront vous laisser indifférent!
Léodio
Léodio, quatuor à cappella, qui nous fera entendre ses chants profanes comiques ou non et religieux du Moyen-âge et de la renaissance.
Sol Moyou
Lors de chaque édition, nos danseuses de Sol Moyou nous entraînent dans leurs pas de danse et émerveillent le public par leur dynamisme, leur charme et leur dextérité.
Fédération d'Escrime
La Fédération belge d'escrime médiévale nous invitera, comme d'habitude, à des combats hors du commun
Ils seront soutenus par Sursum Corda Percussions qui, comme chaque année, donnera à notre fête la folie du rythme et de la bonne humeur !
Des amis fidèles et spectaculaires !
Nas Mentes
Nas Mentes est l'association de deux musiciens fort éclectiques mais qui ont en commun l'amour des musiques médiévales et Renaissance. Jouant de multiples instruments tels que vièle à archet, vielle à roue, rebec, mandole, tzouras ou encore de flûtes diverses, Gwen et Willy, l'une ayant suivi une formation musicale avancée, l'autre étant autodidacte, vous enchanteront de leurs mélodies d'un autre âge.
En attendant
"Ne les attendez plus, les voilà !
Cinq musiciens chevronnés allient les sonorités variées de leurs instruments complémentaires : la guitare qui exprime tout un monde à elle seule, les multiples flûtes enjouées, la harpe
enchanteresse, la clarinette profonde et le violon virevoltant.
De par leur recherche musicale originale qui puise ses racines dans le folk, ces cinq habitués des bals vous emmènent dans un univers où le plaisir de la danse ne se fait pas attendre !"
En ce jour du Seigneur du 3 avril à 21h00
seront jugés les artisans tanneurs
Jacques et Pierre De Warre
présumés coupables de l’assassinat de l’abbé de Seny
occy sur le chemin de la Fontaine du Tô
le 4 du mois d’aoûst 1614.
Le jugement sera exécuté après les Complies
au pied de la Tour de Justice :
Jean Waldor, Bailli du Ban d’Ouffet,
présidera le tribunal.
Il sera éclairé en cela par
deux frères Franciscains de passage :
Guillaume le juste et Adso de Melk.
De par la volonté du bailli et avec l’aide de Dieu !
Perseverare diabolicum
L’intrigue :
L’abbé de Seny est retrouvé mort au bord du chemin de la « Fontaine du Tô », avant de mourir il a la force d’écrire sur sa soutane avec son sang :
« DIABOLICUM… FATER… COLLAC…. TANEUS… »
Non loin de là : sont retrouvés, ivres morts, les deux frères de Warre artisans tanneurs, leurs habits maculés de sang !
Immédiatement arrêtés, ils s’échappent cependant dès le lendemain de bon matin pour ensuite se retrouver cernés par les soldats aux environs de la place publique où ils ont trouvé refuge.
Les soldats fouillent le marché et ses environs pour attraper les fugitifs…
Enfin capturés et au vu d’indices accablants, le Bailli fait procéder immédiatement à leur arrestation.
Les tanneurs ont pourtant généralement leurs habits pleins de sang… essaie-t-on, en vain, d’expliquer au Bailli et aux deux nobles locaux qui semblent particulièrement pressés de les faire condamner. Pour ces derniers, la culpabilité des deux prisonniers ne fait aucun doute.
Les deux assassins présumés sont donc enfermés dans la tour en attendant d’être jugés le soir même.
Les protagonistes :
Jean Waldor, bailli du ban d’Ouffet, il préside le tribunal, il est persuadé de la culpabilité des accusés mais fait cependant appel à :
Guillaume le Juste, un moine franciscain de passage pour l’épauler dans une enquête peu commune et qui s’avère délicate. Il s’agit quand même de l’assassinat d’un ecclésiastique ponctué d’un dernier message écrit en latin par la victime. Message qui pose d’ailleurs questions quant à sa traduction :
« DIABOLICUM… FATER… COLLACTANEUS » ?
Littéralement, « Les frères consanguins diaboliques ! » ???
Adso de Melk, moine franciscain. Il accompagne Guillaume le Juste dans sa quête de la vérité, il lui sert d’interprète, n’a pas toute sa tête, mélange plusieurs langues et se comporte en « Fou du roi ».
Jacques et Pierre de Warre, les deux artisans tanneurs soupçonnés du crime.
Claude et Gilles de Hey : deux nobles, deux frères, soit disant de passage. En réalité ils se sont arrangés pour être conviés par le Bailli à assister à ce procès exceptionnel. Au cours du jugement, on les pressant tous deux impatients de faire condamner les deux frères tanneurs. Ils s’inquiètent rapidement de la tournure prise par le procès instruit par notre bon franciscain. En effet, le doute s’installe peu à peu quant à la culpabilité des frères de Warre et ce, malgré le fait de l’accusation d’avoir eu recours à la manipulation d’un témoin.
Giel Hayerlin, bûcheron, braconnier et ivrogne sans scrupules, témoin à charge soudoyé par les deux nobles.
Hylde Tue-Mouches, témoin, employée par les frères tanneurs.
Margueritte Dent-de-Loup, témoin, serveuse de l’auberge.
Pierre Térail de Bayard, capitaine commandant la garnison.
Yves Sanson d’Ouffet, le bourreau.
Le jugement
Tous les ingrédients d’un procès haut en couleur du aux répliques, aux prestations savoureuses des acteurs, aux supplices, à l’intrigue, aux rebondissements et au dénouement inattendu.
En fin de procès, on découvre que l’abbé de Seny était en fait le demi-frère des deux nobles, d’où l’intérêt pour ces derniers de le voir disparaître.
Apparitions de… et de…
Transformations de…
Et puis zut…venez voir !
Cela se passe au pied de la Tour de Justice
ce dimanche 3 avril à 21 h00
Intrigue inspirée par la « Légende de la Croix du Tô »
Par Antonio Marotta avec la collaboration de Pol Gillet.